🚨 Fini les commandes Shein et Temu à prix cassés : une taxe de 2 € arrive en 2026

Ă€ partir de 2026, chaque petit colis de moins de 150 € en provenance de Chine ou d’autres pays hors UE sera taxĂ© 2 €. Une dĂ©cision historique qui va faire mal au porte-monnaie des consommateurs… et qui pourrait bien sonner la fin du dropshipping low-cost.

Une nouvelle taxe qui va tout changer

Ce n’est pas une rumeur. C’est une réforme validée par Bruxelles.
Dès le 1er janvier 2026, une taxe forfaitaire de 2 € s’appliquera à chaque colis importé directement depuis un pays non membre de l’Union européenne.

Dans le viseur ? Les plateformes comme Shein, Temu et AliExpress, devenues incontournables grâce à leurs prix cassés.

Aujourd’hui, ces géants inondent le marché européen sans quasiment aucun contrôle. Ni TVA. Ni douane. Ni norme stricte.

4,6 milliards de colis : l’Europe veut stopper l’hémorragie

En 2024, 4,6 milliards de colis de moins de 150 € ont été livrés dans l’Union européenne.
91 % venaient de Chine.

Un volume devenu ingérable pour les douanes. Et un cauchemar pour les commerçants européens.

Résultat : Bruxelles veut reprendre la main. Et vite.

Trois objectifs clairs derrière cette taxe

1. Stopper la concurrence déloyale

Les petits commerçants, eux, paient la TVA, les charges, les douanes.
Impossible de s’aligner sur un t-shirt vendu 2 € depuis l’autre bout du monde, livré en quelques jours.
Cette taxe vise à rétablir une forme de justice économique.

2. Mieux contrĂ´ler ce qui entre

Beaucoup de produits vendus sur Shein, Temu ou AliExpress ne respectent pas les normes européennes : jouets toxiques, câbles électriques dangereux, contrefaçons…
La réforme va permettre plus de contrôles, plus d’exclusions.

3. Désengorger les douanes

Les services douaniers n’en peuvent plus.
L’UE veut automatiser, filtrer et prioriser les colis entrants, avec cette nouvelle taxe comme filtre.

Mauvaise nouvelle pour les consommateurs

Même si la taxe est censée être payée par les vendeurs, rien ne les empêche de la répercuter sur les clients.

Et dans les faits, c’est déjà ce qui se passe sur certaines plateformes.

👉 Un t-shirt à 3 € ? Il en coûtera 5 €.
👉 Une coque à 1,50 € ? Elle passera à 3,50 €.
👉 Des écouteurs à 6 € ? Ajoutez 2 €, au minimum.

Et ce ne sera pas la seule surprise : d’autres frais “administratifs” pourraient s’ajouter, en particulier chez les transporteurs comme La Poste ou DHL.

Les entrepôts européens, une fausse bonne solution ?

Certains vendeurs tentent déjà de contourner la réforme en passant par des entrepôts basés en Europe.

Résultat : la taxe chute à 0,50 € au lieu de 2 €.
Mais cette astuce n’est pas encore la norme. Et elle ne s’appliquera pas aux colis expédiés directement depuis l’Asie, soit la majorité.

Réactions sur les réseaux : la grogne monte

Sur X (Twitter), TikTok ou Instagram, les réactions ne se sont pas fait attendre.

“Encore une taxe qui pénalise les pauvres”
“C’est la fin des bons plans Temu…”
“On nous force à acheter local, mais 10 fois plus cher ?”

Chez les commerçants et artisans français, en revanche, le soulagement est palpable.

“On n’en pouvait plus de cette concurrence chinoise.”
“On vendait nos produits à perte pour survivre.”

Un vrai tournant pour le dropshipping

C’est une secousse qui va faire très mal à tous les petits revendeurs en dropshipping.

❌ Les modèles low-cost sont morts

  • Fini les gadgets Ă  0,99 € ou les bijoux Ă  1,50 € avec livraison gratuite.
  • Les marges vont s’écrouler.
  • Les campagnes Facebook Ads Ă  petit budget n’auront plus aucun sens.

✅ Les pros tireront leur épingle du jeu

Ceux qui ont anticipé (stock UE, branding, produit de qualité) pourront continuer.
Mais les règles ont changé : exit le volume, place à la valeur ajoutée.

Ce qu’il faut retenir

  • Ă€ partir de 2026, chaque colis importĂ© hors UE coĂ»tera 2 € de plus.
  • Les plateformes comme Shein, Temu et AliExpress sont visĂ©es.
  • Les petits produits Ă  bas prix vont devenir moins rentables.
  • Les consommateurs vont payer plus.
  • Les dropshippeurs peu prĂ©parĂ©s devront pivoter ou disparaĂ®tre.
  • Une opportunitĂ© en or pour les marques europĂ©ennes et le e-commerce de qualitĂ©.

Conclusion : la fin des t-shirts à 3 €, et maintenant ?

Cette réforme ne fait pas dans la dentelle.
Elle va changer durablement le visage du e-commerce européen.

👉 Pour les clients, c’est un retour à la réalité.
👉 Pour les dropshippeurs, un signal d’alarme.
👉 Pour les commerçants locaux, une bouffée d’oxygène.

Le shopping à prix cassé depuis la Chine, c’était pratique.
Mais en 2026, chaque achat en ligne sera un peu plus cher… et un peu plus responsable.

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